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 antaresia stimsoni

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chris42210
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MessageSujet: antaresia stimsoni   antaresia stimsoni Icon_minitimeMar 26 Oct - 19:24

D’après:
antaresia stimsoni A1193611

Antaresia stimsoni ( smith 1985)
Python de stimson

Texte original: neil sonnemann


antaresia stimsoni 25032810

C’est une des espèces connues dans la littérature obsolètte sous le nom de python de children elle était parfois référencer sous le nom de grand python tacheté. Elle est maintenant largement reconnu en tant que python de stimson. Deux sous-èspeces ont été décrites Antaresia stimsoni stimsoni qui fréquente la moitié ouest de l’australie occidentale et antaresia stimsoni occidentalis qui se rencontre du centre de l’australie occidentale dans les deux-tiers sud du territoire du nord au nord-est de la region d’australie du sud, au nord est de la nouvelle galles du sud et dans l’intérieur du queensland.

Ils ont été nommés en l’honneur de Mr Andrew stimson du département zoologique du muséum d’histoire naturel britanique.

Ces serpents sont parmis les plus petits d’australie avec une taille moyenne d’environ 1 mètre. C’est une espèce robuste avec la tête légerement plus large que le coup.

La coloration dorsale est brun-jaunatre, brun pale à gris ou blanchatre.
Il a un modèle persistant de taches lissées marron foncé à rougeatre-marron qui sont circulaires ou allongées. Une bande sombre est présente des narines jusqu’au coté du cou en passant par l’oeil. La fance ventrale est blanche avec des reflets. Chaque sexe à de petits éperons cloacaux et la queue est préhensible.

Habituellement rencontré dans la végétation éparse, dans les affleurement rocheux des bois, les prairies et les for^ts séches. Le plus généralement dans des abris au dessus des rochers se désagrégeant, il cherchent aussi refuge dans des crevasses des rondins creux, des termitières des terrier abandonnés et des cavernes. Comme la plupart des especes du genre antaresia cette espece est connue pour entré régulièrement dans les cavernes pour se nourrir de chauve-souris. Ils se nourrissent aussi de petits oiseaux, de grenouille, lézards et d’autres petits mammifères.
Le python de stimson est essentiellement nocturne, cependant parfois ils chassent ou se réchauffent durant la journée. Lorsqu’ils sont déranger il se mettent souvent en boules avec la tête cachée au centre.
Les accouplements ont lieu d’avril à juillet avec environ 6 oeufs pondu d’aout à novembre.


Management captif:

Les données présentées sont issues de 12 pontes d’A.stimsoni produitent en captivité dans le nord de victoria en australie , de 1994 à 2000.
Les pythons de cet élevage provenant de deux localités.
Le groupe 1 provient de MacDonnell près de’Alice Springs dans le territoire du nord, le groupe 2 de la region de tennant creek toujours dans le territoire du nord.Le groupe 1 était constitué de 4 males et 4 femelles. Ce groupe fut maintenu en captivité pendant 5 ans de 1988 à 1993. Aucune naissance n’eut lieu de ce groupe.

Le groupe 2 était constitué de 1 male et 2 femelles acheté en 1993. Le male et des jeunes étaient toujours captif en 2001.

Le python de stymson est robuste en captivité et tolère beaucoup de fluctuations dans les paramètres de maintenance.

Les terrariums sont constitués de racks en bois mélaminés dans une pièce chauffée et isolée. Il y à une vitre frontale coulissante et ils mesurent 60 cm de long, 40 cm de large et 30 cm de haut.

Le substrat est du gravier pour aquarium de 3 mm sur une épaisseur de 3 cm.

Chaque rack est composé de 9 terrariums. Trois en longueur et trois en hauteur. Chauffé individuellement par une ampoule blanche de 40 W connecté à un thermostat d’ambiance. Les thermostats sont connectés en tandem sur deux enclos et connectés aux deux lampes. De cette manière il n’y a pas de surchauffe si l’une des deux ampoules grille.

Les températures varie pendant l’année sur la base des saisons. Les températures varie d’un strict minimum à 17° en hiver jusqu’a 36° en été.
La durée de chauffage pendant la journée varie également de 8-9 heures en hiver jusqu’à 14 heures en été. Il n’y a pas de chauffage durant la nuit et la température des terrariums rejoint la température ambiante de la pièce.

Les fenêtres de la pièce fournissent une photopériode naturelle pour le nord de victoria.

Les températures sont cyclées pendant l’année pour provoquer les accouplements des pythons. Durant le printemps et l’été les températures sont maintenues dans une gamme étroite. Quand la saison des amours commence en automne, les températures journalières sont changées graduellement, avec les plus basses enregistrées en hiver, en juin et juillet. Les hautes températures pendant la journée sont accru pour compenser les plus basses températures nocturnes et la diminution du temps d’éclairage.

Le matériel pour chaque terrarium est constitué d’un substrat de gravier d’aquarium, d’un bol d’eau et d’une cachette, c’est une écorce courbe d’eucalyptus qui permet d’offrir un endroit ou le serpent se sent en sécurité. L’eau est changé chaque semaine en utilisant un bol désinfecté.

Chaque spécimen est logé individuellement la plupart du temps. Ce qui facilite les nourrissages et la maintenance des racks. Avec cette méthode, il n’est pas nécessaire de séparer les serpents pour les nourrir, les interactions sociales résultant de la mise en place d’une hiérarchie et le stress ainsi engendré est éliminé. Les couples sont seulement rassemblés en hiver et le male toujours introduit dans le terrarium de la femelle.

Les cas de morsures surviennent généralement lors de la distribution des repas où lorsque les mains de l’éleveur, les ustensiles sentent le rongeur. Certains sujets ont une réponse alimentaire exacerbée et mordent à plusieurs reprise s’ils sont manipulés.

Cette espèce est généralement sédentaire dans son habitat, c’est un prédateur embusqué, mais aussi un chasseur actif. Ils peuvent être observés attendant le passage d’une proie devant leur cachette. Cette posture peut être tenu pendant des heures, de jour et de nuit. Lorsqu’ils ont faim les pythons de stimson deviennent très actifs et cherchent partout dans leur terrarium un éventuel repas.

Les repas sont constitués de souris adultes fraichement tuées ou décongelées. Aucune proie vivante n’est distribuée pour éviter les cas de morsures durant la constriction. Les proies sont souvent attaquées et étouffées comme si elles étaient encore en vie, puis avalées. Certain spécimen mange directement la proie déposée au sol sans constriction, d’autre préfére que la proie soit légérement secouée à la pince pour simuler qu’elles sont encore en vie.

Aucun autre régime spécifique n’est utilisé. Les femelles refusent généralement de se nourrir à partir d’avril et jusqu’à la ponte au printemps. Les males recommencent à se nourrir après la saison des amours, durant l’hiver. Dés qu’ils ont recommencé à manger les serpents sont nourris à volonté durant l’été et l’automne. Ce qui a pour effet de leur faire prendre du poids rapidement. Les femelles ont besoins de refaire les réserves perdues durant la production des oeufs. Les males sont nourris selon un régime de maintenance avec une fréquence de repas augmentée durant l’été.

Environ deux à trois souris adultes sont distribuées à chaque repas. A la fin de l’été les femelles sont bien grasses, l’on peut dire que leurs réserves ont été reconstituées depuis la ponte. Les femelles sont reproduites chaque année sans interruption.
De l’huile de mutton-bird est utilisé en supplémentation à raison d’une ou deux gouttes tous les 2 ou 3 repas.

Sexage:

La détermination des sexex s’effectue par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à 9-11 écailles sub-caudales chez les males contre 3 à 5 chez les femelles.
Les juvéniles peuvent être sexé aux environ de 2 où 3 mois.

Accouplement:

Les couples sont présentés en mai, juin, juillet et aout. La plupart des accouplements ont lieu à la fin du mois d’aout. Le male toujours introduit chez la femelles arpente le terrarium. La parade et les accouplements ont généralement lieu 1 où 2 jours après l’introduction du male. Le male pourchasse la femelle et les accouplements peuvent durer plusieurs heures.
Un male qui se désinteresserais de la femelle peut être stimuler par l’introduction d’un concurrent. Les males doivent être observer attentivement car d’intense combat peuvent avoir lieu et l’un ou l’autre pourrait être serieusement blessé. Les males effectue souvent une mue de pré-saison en mai et juin, et une autre après la saison en septemebre. Les femelles aussi peuvent effectue une mue de pré-saison bien que celà ne soit pas aussi fréquent. Les accouplements qui ont été observés ont durer plusieurs heures ( plus de 12) et ont été observés durant les heures sombres du début de matinée pendant les heures les plus fraiches de la journée.

Plusieurs stratégie ont été utilisées pour le groupe 1, avec des groupes de 2 à 8 individus, le male dans le terrarium de la femelle et inversement, rotation des couples ou maintient permanent d’un couple. Cependant aucune ponte n’a été produite.

Le groupe 2 à été reproduit avec un seul couple engendrant de nombreuses couvés.

Le male était généralement introduit chez la femelle pendant une semaine, puis retirer pendant une semaine et enfin réintroduit pour le même labs de temps. Ce scéma était reproduit en mai, juin, juillet et aout le male étant définitivement retiré à la fin de juillet et début aout.

Ponte:

Après la saison des accouplements la femelle devient recluse et se cache sous l’écorce d’eucalyptus. Durant la fin juillet et la fin aout la femelle à été observée se chauffant en position inversée avec les écailles ventrales en l’air.
L’ovulation n’est pas visible chez A.stimsoni et déterminer si une femelle est gravide n’est pas aisé. Cette espèce à généralement un bon tonus musculaire et sentir les oeufs avec les doigts peut où pas être possible. Si la femelle refuse de se nourrir et se tient en position inversée c’est un bon signe de gravidité.

Les oeufs sont pondus au printemps dans la boite de ponte ou sous l’écorce d’eucalyptus. La femelle creuse une dépression dans le gravier quelques jours avant la ponte. Lorsque la femelle à té diagnostiquée gravide une boite de glace remplie de sable humide et de mousse de sphaigne ou de vermiculite, avec un trou sur le couvercle est placée dans le terrarium, après la mue de pré-ponte.

Après la ponte la femelle rassemble les oeufs en grappe pour les couvés si on le lui permet.

Incubation:

Toutes les pontes ont été incubées artificiellement, car les terrariums sont considéré trop sec pour permettre à la femelle de les incuber. Le bois utilisé pour les terrariums n’est pas adapté pour maintenir un taux d’humidité élevée nécessaire à l’incubation. Ces mêmes terrariums peuvent tout de même être utilisés en plaçant les oeufs dans des boites en plastiques du type tupperware. Ce fut la méthode utilisée avant qu’incubateur soit fabriqué. Une position ou la température était maintenue entre 27° et 32° était sélectionnée et la boite placé à cet endroit jusqu’à l’éclosion.

Le jour de la ponte les oeufs étaient retirés à la femelle, chaque oeuf séparé pesé et mesuré avant d’être placé sur la vermiculite dans la boite de ponte.
La mixture était composé du poids de vermiculite pour le même poids en eau. Parfois les oeufs ne pouvaient être séparés de la grappe après qu’ils aient durcis à l’air libre, si ils ne pouvaient être détachés sans risquer d’abimer la coquille ils étaient incuber tel quel dans la boite de ponte à moitié enterrés dans la vermiculite. Un sopalin humide était parfois placé sur le dessus de la ponte pour prévenir le déssechement des oeufs du dessus. Les oeufs n’étant pas en contact direct avec la vermiculite peuvent parfois se déssèchés.
Les oeufs du dessus peuvent obtenir suffisament d’humidité grace au sopalin humide, cependant certains deviennent gonflés mais vont quand même jusqu’à éclore. Il apparait que les oeufs atteignent l’équilibre de leur environnement. Les changements soudain de températures et d’humidité doivent être évités durant l’incubation.
Les oeufs en dessous qui sont enterrés dans la vermiculite peuvent absorber trop d’eau et devenir bouffis.
Il est plus facile d’incuber les oeufs si ils sont séparés et placé individuellement. Si un oeuf meurt, il est plus aisé de l’enlevé si ils sont séparés. Si un oeuf meurt et est attaché à la ponte il peut-être nécessaire de l’enlevé ou de le laisser en place. Parfois un oeuf moisi et se décompose sans affecté le reste de la ponte. D’autre fois les moisissures s’étendent et affectent la ponte entière avec un tout petit pourcentage d’oeufs qui éclosent. Cela dépend des agents pathogènes responsablent de l’infection. Les bactéries progressent tant que les oeufs infectés ne sont pas enlevés. D’autre ponte ont un oeuf qui moisis sans que cela n’est de conséquences sur les autres.

Les oeufs sont incuber à 30°-32°.
Les oeufs ne doivent pas être retournés durant l’incubation, si ils sont déplacés il doivent être laissé dans la même position. Les oeufs peuvent alors être déplacés pour être inspectés sans que cela n’empêche le développement des embryons.
Les chocs et les secousses doivent être évités.

Les boites de pontes ne sont pas sceller et ouvert régulièrement, une à deux fois par semaine. Cela permet de verifier et le cas échéant d’enlever d’eventuel oeufs morts.
Ouvrir le couvercle et remuer la vermiculite permet de renouvellé l’air dans la boite de ponte. L’eau migre sur les cotés du contenaire en raison des différence de température. Remué périodiquement la vermiculite permet d’éviter qu’elle ne devienne trop sèche autour des oeufs mais aussi d’échanger le dioxyde de carbone par de l’oxygène.

Durant les 2-3 dernière semaine d’incubation il est normal que les oeufs se ratatinent et apparaissent déshydratés. Il n’est pas nécessaire d’ajouter de l’eau à ce stade. La boite de ponte peut être ventiler juste avant l’éclosion pour offrir de l’air frais aux serpentaux.
Dès que le premier à percer sa coquille grace à la dent de l’oeuf, les autres sont ouverts à l’aide d’un ciseau à ongle. Une petit incision est effectuée d’environ 10-15mm de long sur le haut de l’oeuf. Les jeunes peuvent mettre un ou deux jours pour émerger de l’oeuf après avoir sortit la tête.
L’ensemble des petits peuvent mettre une semaine pour éclore.

Nouveaux nés:

Dès la naissance les juvéniles sont placés dans des boites de 23 cm de long, 16 cm de large et 8 cm de haut. Des trous sont percés dans le plastiques pour la ventilation.
Le substrat est du sable d’aquarium et est changé dès que nécessaire. Un petit bol en plastique pour l’eau ainsi qu’une petite écorce d’eucalyptus est ajouté pour la cachette. Durant les mois les plus frais, lorsque la température de la pièce est aux environs de 25°, un tapis chauffant est placé sous un tiers des boites et controllé par un thermostat pour atteindre 32° à 35°.

Le premier repas n’est pas distribué tant que la première mue n’a pas eu lieu environ deux semaines après l’éclosion.

Quelques petits prennent un rosé de souris comme premier repas, la majorité nécessitant que l’on frotte le souriceau sur un scinque ou un gecko avan qu’il ne l’accepte. D’autre requière que l’on place un morceau de queue de scinque d’environ 2 mm de long dans la bouche de la souris avant de l’accepter.
Les sujets refusant toute nourriture sont gaver avec une queue de souris jusqu’à ce qu’ils acceptent le premier repas seul. Conserver un contenant avec des queues de souris dans le freezer permet de nourrir un grand nombre de jeunes en peu de temps. Les queues de ouris sont coupées suivant un angle de 45° à la base de manière à faciliter l’introduction dans la gueule du serpenteau. Celui-ci ouvre généralement la bouche facilement et la queue enfoncé jusqu’à la moitié de la gorge. Après cela la plupart termine seul leur repas, de plus le fait que les poils de la queue soient en sens inverse ne facilite pas la régurgitation.
L’assist-feeding peut être nécessaire deux fois par semaine pendant environ 10 à 12 repas avant que les jeunes A.stimsoni ne se nourrissent seul.

Les juvéniles sont nourris d’un rosé ou d’un blanchon deux fois par semaine. L’eau est changé une fois par semaine comme pour les adultes.

Les données de croissances n’ont pas été notées régulièrement. Les jeunes grandissent rapidement en se nourrissant de souris de laboratoire et atteignent la maturité à 1,5 ans.
A cet age ce sont de jeunes adultes et aucune tentative de reproduction n’est tenté avant qu’ils n’atteignent 2,5 ans. A cet age ils sont plus gros et peuvent produirent des pontes plus consistantes.

Conclusion:

Le goupe 1 obtenu adulte et maintenu 5 ans fut vendu avec regret.

Dans le groupe 2 la male est toujours en vie, obtenu adulte en 1993, il est captif depuis 8 ans. Ce spécimen vit donc en captivité depuis plus de 20 ans ( Simon Kortlang, pers. comm.)

La taille moyenne des pontes est de 7 à 13 oeufs.
Le nombre moyen d’oeuf fertile à chaque ponte est de 9, avec une moyenne de 7 oeufs éclos soient 77% de réussite.

Shine ( 1991) à rapporté une moyenne de 6 oeufs par ponte lors d’études sur le terrain et de dissection au muséum.

Bedford & Comber (2000) ont enregistré une ponte issue d’une femelle d’Alice springs, mais n’ont pas mentionné le nombre d’oeufs.

Kortland (1989) à enregistré une ponte de 15 oeufs ( tous fertiles), 19 oeufs ( 18 fertiles) et 15 oeufs ( 14 fertiles) résultant du croisement d’une femelle A. stimsoni orientalis et d’un male A.childreni. La provenance exact de ce couple n’est pas mentionné.

Barker & Barker ( 1994) ont eu une moyenne de 8,5 oeufs sur deux pontes de 8 et 9 oeufs ( tous fertiles).
Il semble que les spécimens sauvages ont des pontes plus petites, de l’ordre de 6 oeufs ( Shine 1991) comparé aux spécimens captifs qui pondent 8 à 9 oeufs en moyenne.

Le nombre record d’oeufs par ponte à été obtenu par Kortland ( 1989) avec une moyenne de 16 oeufs fertiles issue de 3 pontes c’est au moins deux fois plus élevé que les autres études. Ces pontes issues de croisement et ne sont donc pas une indications fiables pour cette espèce.

Le temps moyen d’incubation est de 50 jours. La plus petite période d’incubation fut de 46 jours et la plus longue de 56 jours.

Barker & Barker (1994) donne une période d’incubation de 51 et 52 jours sur ses deux pontes et la période entre l’oviposition et la mue de pré-ponte de 37 jours.

Dans cet étude le temps entre la mue de pré-ponte et la ponte est en moyenne de 26 jours, soit entre 9 et 37 jours. Il y a eu deux période très courte entre la mue de pré-ponte et la ponte numéro 1 et 7. La ponte 7 n’avait que des oeufs non-fertile et le délai entre la mue et la dépose des oeufs fut de 9 jours. Cependant lors de la ponte n°1 la ponte eu lieu 12 jours après la mue et tous les oeufs étaient fertiles et ont éclos. La raison de cette période très courte n’est pas connue. Les pontes suivantes de cette femelle se passèrent normalement et la durée entre la mue et la ponte redevinrent normales, excepté donc pour la ponte n°7 où les oeufs n’etait pas fertiles. Avant cela il étaithabituel que la période entre la mue et la ponte était relativement constante et d’environ un mois mais ces deux cas suggère que cela puisse être variable. Ce qui eu aussi pour conséquences de faire chuter la moyenne de 30 jours à 26 jours.

La moyenne entre le premier accouplement observé et la ponte est de 129 jours.
La moyenne entre le dernier accouplement observé et la ponte est de 86 jours.
La période de gestation n’as pu être notée car l’ovulation a rarement put être observée.
La plupart des accouplement ont eu lieu en juin et juillet durant les mois les plus fraid de l’année.
La plupart des pontes ont été effectuées en octobre. Deux pontes furent déposées début novembre.
La période de ponte est assez courte entre début octobre et début novembre soit environ un mois. Cependant Barker & Barker (1994) ont enregistré dans la nature deux pontes, l’une en aout l’utre en décembre. Kortland (1989) nota que sans période plus fraiche, les pontes avaient lieu deux mois plus tot qu’habituellement.
La plupart des ponte éclorent fin novembre début décembre.
Il n’y a que peu d’information sur la taille des oeufs pour cette espèce.
Le poids moyen d’un oeuf est de 11 gr.
La longueur moyenne est de 33 mm pour une largeur de 23 mm ( 114 oeufs)

L’effort de reproduction calculer en pesant la ponte et la femelle après celle-ci, donne une résultat en pourcentage du poids de la femell.

L’effort de reproduction moyen est de 0,43, ce qui signifie que la ponte représente 43% du poids de la femelle. L’effort de reproduction varie de 0,34 à 0,49 soit 34%à 49% du poids de la femelle.

Les spécimens du groupe 1 originaire des alentours d’alice springs n’ont pas été reproduit malgré de nombreux essais en variant les techniques et ce durant 5 ans. Ce n’est que lorsque d’autre sujets furent obtenue et provenant d’une autre localité que les accouplements eurent du succès, en utilisant les mêmes parametres. Le groupe 2 originaire de tennant creek fut maintenu dans les mêmes conditions et reproduit régulièrement, malgré le fait qu’il soient moins nombreux, seulement 3 individus, comparé au 8 de groupe 1.

Les données précisant les difficultés de reproduction en captivité, peuvent être du à la provenance des serpents, ce qui tend à démontré que certain se reproduisent plus facilement que d’autre dans les conditions artificielles de la captivité. Avec les génération succéssive nées en captivité ces effets devraient s’estomper, ce qui permettra de fournir suffisement de sujets pour le marché terrariophile.


Dernière édition par chris42210 le Mer 27 Oct - 17:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: antaresia stimsoni   antaresia stimsoni Icon_minitimeMar 26 Oct - 19:26

Arf, saleté de coupure de courant 4 pages de traduction volatilisé Evil or Very Mad Crying or Very sad
Alors patience, tout est à refaire!!!! Glou glou
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MessageSujet: Re: antaresia stimsoni   antaresia stimsoni Icon_minitimeMer 27 Oct - 17:18

Et voila terminer antaresia stimsoni 493450
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