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 liasis olivaceus barroni

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chris42210
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chris42210


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MessageSujet: liasis olivaceus barroni    liasis olivaceus barroni  Icon_minitimeVen 17 Juin - 20:51

D’après:

liasis olivaceus barroni  A1193617
liasis olivaceus barroni (smith 1981)
Python olive de pilbara

texte original: Dr. David Pearson

liasis olivaceus barroni  Image_16

Le serpent olive de pilbara est un grand serpent quoique mince qui se rencontre dans le pilbara et le nord de la région d’Ashburton au nord-ouest de l’australie occidentale. Il est également connu sous le nom commun de python des roches et python olive occidental.
Le python olive de pilbara est séparé des populations tropicale du nord de liasis olivaceus par de vaste étendue de désert sableux ( Pearson 1993)


liasis olivaceus barroni  Image_17

Ce python est actuellement listé par la législation sur la faune de l’australie occidentale comme «faune rare ou proche de l’extinction» et comme vulnérable par le « commonwealth environment protection and biodiversity conservation act», 1999.
Il n’as pas été inscrit comme un python qui peut-être gardé en captivité conformément listings des reptiles de compagnies de l’australie occidentale.
Par conséquent, il n’est pas possible de le maintenir captif pour le grand public.
D’après les connaissances de l’auteur, seulement un petit nombre sont, ou ont été élevé grace à une licence en australie occidentale.
Un certain nombre sont élevé illégallement à travers les états et de récentes correspondances par mail provenant des USA, proclament qu’ils ont été reproduit captif là-bas.
Le python olive de pilbara est bien connu des aborigènes du pilbara ( sous le nom de «bargumyji chez la tribu des Yindjibarndi et « palkunyji» ou «parkunarra» chez les Kurruma) et fut autrefois une source importante de nourriture.
Dans leur esprit il est une figure importante expliquant la formation des rivières et des trous d’eau.

Une légende Yindjibarndi dit comment bargumyji, tel un serpent venimeux, tenta de tendre une embuscade à un homme à l’esprit de mante religieuse. Une poursuite s’engagea le python s’élança et mordit dans une bulle fantome, après quoi l’homme à l’esprit de mante a maudit bargumyji de manière à ce qu’il ne voit plus la lumière du jour, il fut alors destiné à se dissimuler dans les plans d’eau pour attraper ses proies ( Cheedy 2001).

La toute première observation d’un européen à propos de ce python, est selon les connaissances de l’auteur, l’observation d’Ernest Giles en mai 1876. Aux abords très proche de la rivière Ashburton, il nota à l’intention de l’un de ses compagnons:
« tué très gros serpent; il faisait près de 9 pied de long, presque un pied de circonférence et pesait près de 50 kilos. C’est un parfait monstre d’Australie. Si n’ous n’avions pas eu de quoi manger il aurait été une aubaine.»

Les rencontres entre les prospecteurs et les mineurs devait être commune durant les années suivant la révolution industriel, car les deux était inexorablement attiré par les cours d’eau et les étangs dispersés du pilbara.Cependant peu d’observation furent faites.

L’ornithologiste, F. Lawson Whitlock, campa dans les environs d’Hamersley en 1922 pendant une période de 5 mois. Il décrivit comment un printemps il observa ce qui semblait être une roue de véhicule submergé. Une inspection plus minutieuse révéla que c’était un gros python olive enroulé au fond de lonc avec sa tête dépassant dans les joncs.Whitlock tua le python et:

«trainé par la queue, il mesurait 11 pied. Des spécimens de plus de 18 pieds ont été vu, c’était donc un petit»

Les spécimens de liasis olivaceux barroni sont arrivés au muséum d’Australie occidentale par petit nombre.Quatre furent noté sur les registres avant 1960; six de plus furent collectés dans les années 60; trois pendant les années 70 et 80; mais seulement un pendant les années 1990.
Le peu d’acquisition du muséum n’est probablement pas un indice de leur abondance car l’éloignement de pilbara par rapport à Perth ainsi que la grande taille de ces serpents rendent leur collecte, leur préservation et leur transport difficile.

La plupart des premiers sujets du muséum venaient de propriété pastoral ou des équipes d’explorations minières. Olive Cusack de la désormais abandonnée Tambrey Station collecta deux spécimens dans sa ferme. Elle se souvint de la rencontre d’un énorme python olive de pilbara à l’intérieur de son domicile attirré par la récente acquisition d’un nouveau chiot. Le python fut tué à coup de pelle et de hache et elle rapporta:
« J’ai envoyé le cadavre ( plus de 16 pieds) dans du formol au muséum qui me remercia chaleuresement et serait enchanté si je leur envoyé un camarade!»

En 1981, Laurie Smith du muséum d’Australie occidentale décrivit le python olive de pilbara en se basant sur 8 spécimens disponibles dans la collection du muséum. Il les distingua des populations nordique e liasis olivaceus olivaceus en se basant sur le plus petit nombre d’écaille sur le milieu du corps ( 58-63 contre 61-72) et par le plus grand nombre d’écailles ventrales (374-411 contre 355-377). L’holotype était un juvénile collecté à Tambrey en 1964 par Harry Butler. Le noms de la sous-espèce « barroni» fut donné en l’honneur de Greg Barron et en reconnaissance pour ses services à l’herpetologie d’Australie occidentale (Smith 1981).

Plusieurs auteurs ont spéculé à propos de la longueur maximal que le python olive de pilbara pouvait atteindre. Mis à part les records historiques de Whitlock et Cusack mentionné ci-après, Serventry ( 1952) registration de deux pythons olive de pilbara ayant une longueur totale de 12 pieds et 12 pieds 1 pouce et pesant 19 et 20,5 livres respectivement. Shine (1991) rapporte qu’ils atteignent une taille de 6m50. Ce chiffre est basée sur l’estimation d’une photographie présentée une fois dans la cours du muséum d’Australie occidentale. Barker & Barker (1995) spéculèrent:
« Ce python est potentiellement gigantesque...Une estimation raisonnable serait qu’un spécimen pourrait atteindre à sa taille maximale un poids supérieur à 40Kg, peut-être plus comme 50-60Kg.Alors que le python des buissons Morelia kinghorni, ist le plus lon serpent d’Australie, le python olive de pilbara est le plus gros»

Peut-être que de plus gros liasis olivaceus barroni furent prélevés dans le passé, mais en se basant sur environ 140 capture que l’auteur et des collègues volontaires on effectué sur divers site dans le pilbara ( Pearson, non-publié), le plus gros mesurait 3m97 de longueur totale et pesait 13Kg. La majorité des adultes capturés mesuraient entre 3 et 4 mètres de longueur totale.

Le python olive de pilbara est un serpent plutôt mince, reflétant ses apparentes préférences pour se retirer dans de fine crevasse ou caverne, et occasionellement une stratégie de chasse arboricole. Certaines proies ( comme les chauve-souris frugivores) sont attrapées dans la canopé des arbres ou des palmiers.
Il n’est pas aussi lourd qu’un python tapis de taille similaire, il est apparait donc peu probable qu’il atteigne le poids suggéré par Barker & Barker (1995).

La coloration du python olive de pilbara est variable. Les juveniles sont habituellement de couleur olive sur la surface dorsale avec le ventre d’un blanc ivoire pale. Cependant les adultes ont des couleurs très variable de l’olive au marron foncé et au brun-rouge bien marqué avec un ventre blanc ivoire pale à une couleur ressemblant à celle des buffles ( Barker & Barker1995; observations personelles).Les écailles ne sont pas particulièrement irisé excepté après une récente mue.

La plupart des données écologiques énumérées ci-dessous ont été collectées pendant une étude radio-télémètrique qui n’a pas encore été publiée sur 25 pythons olives de pilbara provenant de 4 sites dans le pilbara ( Pearson, Sutherland,Burns,Burns,Kregor,Tutt,Mitchell,Fekete, et le club naturaliste de Nickol Bay, non-publié) entre 1996 et 2005. Sur chaque site, les serpents ont été implantés chirurgicalement avec des transmetteurs et des radio-émetteurs pendant des périodes de 4 mois à 4 ans. La majorité des travaux sur le terrain ont été effectué par des volontaires de la ville minière de Pannawonica, Tom Price, Karratha et Dampiers et les rangers du parc national de Millstream-chichester. Les données n’ont pas encore été totalement analysée; les observation préléminaires sont présentées ici.

Durant la période ces recherches les serpents étaient capturés, pesés et mesurés et un nombre d’entre eux écraser sur les routes collectés pour une dissection ultérieur. De nouvelles données morphométriques, la disposition des écailles, leur diète et leur reproduction basé sur ces spécimen seront publiées prochainement ( Pearson et autresn en préparation)

Le python olive de pilbara se rencontre aux alentours de la station de Yinnietharra dans le nord de la région d’Ashburton jusque près du port d’Hedland dans le pilbara. ils s’étendent aussi loin à l’est que Ragged Hills et des drainages de la rivière Oakover, et une population isolée occupe l’île Dolphin et l’ancienne île de Burrup, maintenant relié au continent par une route pour former la péninsule de Burrup.

Ils semblent préférer les habitats rocheux, les gorges les environs des mines de fer ou les complexes de piles rocheuse en granophyre ou en gabbro. Ils se rencontrent également le long des rivière majeure tel que la rivière Fortescue où ils s’abritent sous les racines de paperback dans la végétation épaisse ou les débris flottant, et utilise les habitats rocheux à certaine période de l’année.

paperbarks:
liasis olivaceus barroni  2010_010




Les récentes études de radio-télémétrie dans les gorges le long de la rivière Robe près de Pannawonica ( Pearson et Sutherland, non-publiés) indique que liasis olivaceus barroni
préfére passer les mois les plus frais caché dans des cavernes ou des crevasses loin des rivières et devenant ainsi sédentaire, ils émergent occasionellement seulement le matin pour se réchauffer. Durant les mois les plus chaud ils sont beaucoup plus actif et s’abritent dans des sites tel que des cavernes, en dessous des débris d’inondation dans le lit des rivières dans les creux des arbres ( parfois à des hauteurs de 5 mètres) , dans les tas de pierre d’excavation minière ainsi que dans les enrochement des voies de chemin de fer. Durant les inondations occasionels causées par les cyclones, ils se retirent dans les cavernes hors de portée de la montée des eaux.

L’activité et les lieux d’habitats utilisés étaient similaires à ceux d’autres études. Une période ou une inactivité relative pendant les mois d’hiver étaient cohérente à travers les différents sites, cependant peut de données sont disponibles concernant les juvéniles en raison des contraintes liés à l’implantation des transmetteurs sur ceux-ci. Dans la ville de Tom Price, ils utilisent les vastes étangs former par les systèmes d’égouts de la périphérie de la ville, se cachant dans l’eau pour capturer le gibier d’eau. A certaine période ils errent loin de la protection des points d’eau s’abritant dans les nombreuses cavernes. ( Pearson, Burns & Burns, non-publiés).

A Millstream, les marécages alimentés le printemps s’écoule dans la rivière Fortescue, la radio-télémetrie montre que les pythons olive de pilbara passent les mois les plus chaud à chasser le long des cours d’eau se cachant dans de petits affleurement rocheux, dans les débris charrier par l’eau et en dessous des dattiers introduit par l’homme. Les chauves-souris frugivores se nourissant dans les dattiers sont capturer lorsqu’elles grimpe sur les palmiers de jour ou de nuit. Des pythons ont été vue tombant de plusieurs mètres sur le sol lors de la constriction des chauves-souris. D’autre fois ils sont submergés ou cachés dans de denses roseaux pour capturer de juvéniles macropus robustus où des oiseaux venus boire ( Pearson et Kregor, non-publié).



Rivière Fortescue:
liasis olivaceus barroni  Tom_pr11
macropus robustus:
liasis olivaceus barroni  Image_13

Sur la péninsule de Burrup, les pythons vive dans de profondes crevasses ou les éboulis de gabbro où de granophyre. Cherchant leur nourriture le lon de petits ruisseaux saisonnier courant sur les affleurements rocheux. Sur cette aire, ils sembles se nourrir principalement de petit kangourous et de pigeons ( Pearson, Tutt, Mitchell, Fekete et le club naturaliste de Nickol Bay, non-publié).

Le régime alimentaire des juvéniles n’est pas bien connu bien que les nouveaux-nés à Tom Price sont souvent trouver dans des volières après en avoir consommé les occupants générallement des pinsons ou des perruches. Les adultes ont été observés se nourrissant de grands variété d’espèces incluant des chauve-souris frugivores, de petits kangourou, de cacatohès de canards de colombes plumifères et de petrogale de rothschild. Ils se nourrissent probablement aussi d’autres mammifères présent dans leur environnement tel que le chat marsupial du nord ou de rats à grosse queue. Mais aussi d’autres reptiles. Les juvéniles mange probablement des grenouilles

petrogale de rothschild:
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colombe plumifère

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chat marsupial du nord
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rat à grosse queue
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L’eau attire les proies dans la région chaude et sec du pilbara, ce qui explique purquoi ces pythons sont souvent observés chassant à l’affut à proximité ou dans l’eau.

Lorsqu’ils sont à l’affut hors de l’eau, ils sont fermement enroulés, parfois avec la queue enveloppé autour d’un arbuste à la manière d’une ancre la tête et le coup en position de S. La tête légérement surélevé pour que les yeux et les fosses thermosensibles puissent détecter des proies à travers les herbes et les rochers.

La saison des amours, dont les accouplements ont lieu durant les mois les plus frais de juin à aout. Les males quittent leur lieu de vie habituels et se déplace sur de considérable distance ( plus de 3 km) pour localiser les femelles, probablement guidés par les traces de phéromones. Les couples pour s’accoupler se retirent dans de petites cavernes et peuvent y rester plusieurs semaines. Ils sortent se réchauffer chaque jour et s’accouplent probablement plus d’une fois. Il n’y a que peu d’observations de couples s’accouplant, on ne sait donc pas si les femelles s’accouplent avec plus d’un male.

Les males retourne ensuite dans leur lieu habituel, laissant les femelles pondre aux alentours d’octobre. Seulement trois site de pontes ont été localisés durant les travaux de radio-télémétrie que les femelles pondent de façon irrégulière, peut-être seulement tous les 4 à 5 ans selon leur conditions de santé. Un site de ponte près de Pannawonica fut localisé à 200m de la rivière, sur un éperon rocheux sec. La femelle ne put être localisée durant plusieurs semaines, ayant voyager hors de son lieu habituel. Elle fut relocalisé juste avant la ponte et à ce moment là elle maintenait une température constante haute ( 31°-33°). lorsqu’elle fut de nouveau aperçu elle était très amaigrie, ce qui suggéra qu’elle avait incuber ses oeufs.

Le site de ponte ne put être examiné car il fut pondu sous un bloc de roche énorme pesant plusieurs tonnes. L’orientation sud-ouest de ce bloc et qui ne surplombait pas la végétation suggère que ce site restait assez chaud pour que la femelle ne soit pas obliger de réchauffer la température de leurs oeufs. De plus ce rocher était si énorme qu’il évitait que la température ne varie trop ce qui pourrait mettre en danger ses oeufs.

Un autre site de nidification fut localisé dans le park national de Millstream-Chichester. Encore une fois la femelle avait quitter ses lieux habituels et s’était éloigner de l’eau. Le nid était situé en dessous d’un énorme bloc de mudstone qui ne put être déplacé pour inspection. Malheuresement à cet époque des caméras télécommabdés n’était pas disponibles pour inspecter le nid.

Les oeufs furent probablement pondu fin décembre début janvier en se basant sur la taille des nouveaux nés de Tom Price à cet époque. Ils mesuraient environ 840mm de longueurs et pesaient à peu près 55 gr. Les techniques de chasses et les sites où les juvéniles s’abritent de ses petits serpents sont inconnus. Une jeune suivie à la radio-télémétrie a passé la plupart de son temps dissimulé dans de grandes herbes ou des roseaux à coté d’un ruisseau saisonnier essayant peut-être de se nourrir de grenouille.

La détermination des sexes chez liasis olivaceus parroni peut être aisément déterminé à l’aide d’une sonde droite et bien lubrifié qui pénètre jusque 2 à 5 écailles subcaudales chez les femelles contre 10 à 18 chez les males. Les individus capturés pour les soigner à la suite de blessure furent nourris en laboratoire avec des rats et des oiseaux victimes de la circulation routière ( cacatoès, engoulevent) ou de bandicoots. Les soins en captivité sont probablement proches de ceux de la sous-espèce du nord (liasis olivaceus olivaceus).

Le python olive de pilbara apparait comme étant relativement commum sur son aire de répartition. Les menaces pour sa conservation incluent la raréfaction de ces proies ( wallaby des rocher et chat marsupial ) sur les cotes du pilbara ( péninsule de Burrup) ou les renards sont présent. La destruction de son habitat est lié aux mines de fer et aux infracstructures tel que les lignes de chemin de fer et les installations portuaires et ont un impact significatif. L’augmentation de la circulation automobile associé a l’agrandissement des villes et au tourisme mène à l’augmentation des pythons tuer sur les routes mais cela semble localisé et ne semble pas une menace sérieuse.




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MessageSujet: Re: liasis olivaceus barroni    liasis olivaceus barroni  Icon_minitimeJeu 23 Juin - 23:50

Et voila cheers
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MessageSujet: Re: liasis olivaceus barroni    liasis olivaceus barroni  Icon_minitimeMar 28 Juin - 0:10

merci beaucoup pour tout ton travail de traduction qui doit te prendre un temps fou ; félicitations encore .
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MessageSujet: Re: liasis olivaceus barroni    liasis olivaceus barroni  Icon_minitimeMar 28 Juin - 3:59

De rien, la suivante est en cours de traduction, mais 10 pages! A taper sur le clavier ça fait mal aux doigts, et à traduire à la tête.... Suspect lol!
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